- Le mode d'accession au pouvoir
- Les crimes économiques qui plombent le pays depuis l'arrivée au pouvoir de Mr Dénis Sassou Nguésso
- Les crimes politiques devenus la norme incontournable et revendiquée par les "vainqueurs"
- La gestion calamiteuse du pays et le contexte sociopolitique dans lequel il est dirigé.
Le pouvoir reconnaît-il que sa disparition a laissé un vide important dans le paysage politique congolais. Le refus systématique de Mr Sassou Nguésso de voir Ya BEKOL revenir dans son pays, et ce malgré deux tentatives pacifiques, montrait au grand jour l'esprit d'exclusion qu'entretient ce pouvoir. Cette intransigeance a certainement eu raison sur la psychologie du Président du MCDDI. Lui qui avait créé les conditions pacifiques du retour (vivant) au pays de l'actuel chef d'état. La suite tout le monde le sait, puisque le retour de BKOL était toléré pour des raisons de décès de son épouse. Après, c'est bien facile de faire le médecin après la mort et d'ériger notre deuil en une honteuse option politique au nom d'une certaine paix.
Pourtant, le mal congolais reste entier. En ce débarrassant de Ya BEKOL de cette façon, le pouvoir actuel espère encore que personne ne peut se dresser dorénavant devant lui pour contester sa politique dévastatrice et inhumaine. Nous considérons en tant que cadres du parti, qu'il est illusoire de le penser ainsi, car l'oeuvre de tout une vie accomplie par Bernard Kolélas ne peut pas disparaître. Militants ou non du MCDDI, les congolais sont très attachés à l'état de droit et à l'instauration des institutions démocratiques.
Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI dont le projet politique s'inspire de la pensée sociale de notre Président, propose à la communauté congolaise de continuer le travail du grand leader de notre pays et d'apporter des réponses concrètes à la population.
Appel à l'unité de tous les militants et cadres du MCDDI autour des idées cardinales de Bernard Kolélas
Nous avons le devoir moral, de par nos actions futures de donner des perspectives à nos concitoyens. Nul ne peut se satisfaire de la situation actuelle, car le peuple silencieux est de plus en plus impatient.
Avoir comme seul variable politique, la proximité conjoncturelle avec ceux dont on sait de toutes façons qu'ils auront inexorablement des comptes à rendre devant l'histoire et devant la communauté des nations c'est manquer de lucidité au risque de perdre notre intelligence.
Nous avons un grand héritage à fructifier.
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